Adèle continue de me faire découvrir l’alphabet généalogique de cette branche vosgienne. Du A de Adèle, au B de Bertrand, son nom de jeune fille, je découvre le C de Claudot, le nom de sa mère. Que me révèlera cette branche ?
Comme nous l’avons vu dans la présentation de la branche BERTRAND, François, le père d’Adèle, était fils de luthier. Nous avons également vu que cette recherche sur des générations de luthiers a vite tourné court.
Mais qu’en est-il du côté de Anne, l’épouse de François, la mère d’Adèle ? Nous savons qu’Adèle avait un grand-père luthier, Nicolas. Etait-il le seul ?
Une famille taillée dans le bois
Si Nicolas était luthier, tout comme son père Charles François, ce n’est pas le cas de leurs aïeux. Jean, père de Charles François était tourneur, Joseph, le père de Jean était maître charron. Quant à Rémy, le père de Joseph, je n’ai pas trouvé suffisamment de traces le concernant, mais je ne serais pas surprise de lui découvrir un métier lié au bois.
Est-ce que les recherches sur mes ancêtres luthiers s’arrêtent ici ? Comme pour les BERTRAND, il ne semble pas qu’il y ait de longues lignées dans ma généalogie. Du moins, en généalogie ascendante…
Si je m’intéresse aux enfants de Charles François, puis de Nicolas, je découvre une famille de luthiers, dont certains ont su se faire un nom, à commencer par mon ancêtre Nicolas CLAUDOT.
Il suffit de regarder l’arbre généalogique des CLAUDOT, réalisé par Jean-Philippe COGNIER, pour comprendre que cette famille a laissé une trace dans l’histoire de la lutherie.
Que vont m’apprendre les recherches sur les CLAUDOT ? C’est à découvrir dans les prochains billets ….
J’adore vos histoires ! J’ai hâte de découvrir la suite une fois de plus ! Bonne continuation !
Ca en fait des luthiers, tout ca 🙂 vas tu nous ressortir un violon créé par un de tes ancêtres ? ou un descendant d’un de tes ancêtres ? Et le facteur d’orgues, on peut voir ses orgues dans quelle église ?