Les signatures sont des œuvres de calligraphie.
La recherche d’un acte peut s’avérer fastidieuse, surtout lorsqu’il s’agit de parcourir des BMS de la première moitié du 17e siècle.
Heureusement, la lecture de certains actes peut révéler de jolies perles, tel cet acte de baptême de Julien Barbot (arbre généalogique) :
![]() |
||
Source AD35, cote 10 NUM 35347 5 |
Je ne m’explique pas le quadruple E à la fin du nom Le Cocq :
![]() |
Source AD35, cote 10 NUM 35347 5 |
Bonsoir Sophie,<br />Un autre acte, trouvé dans les registres sarthois, qui porte de nombreuses signatures ornées de leurs ruches (merci Jordi ;-):<br />http://wp.me/p1sdgw-wV
@Raphaël le lien n'est pas valide 🙁 <br />Concernant les signatures, je publierai un article complémentaire la semaine prochaine.
Clair qu'on a parfois l'impression d'assister à des concours de signatures !<br /><br />Sinon cela me rappelle cet article paru il y a longtemps sur Geneablog : http://geneablog.typepad.fr/geneablog/2007/01/des_signatures.html
À mon avis, c'est à mettre au même rang que la ruche. Simple préoccupation esthético-sociale
@Jordi Merci de cette précision technique 🙂 As-tu une idée pour la répétition des E ?
@mistike : le "gribouilli" s'appelle une "ruche" ;-)<br />Mais tu es déjà toute pardonnée ^^
J'ai eu la même impression que toi, à savoir "c'est moi qui fera la plus belle de toutes".<br />La qualité du parrain est cité (avant dernière ligne de l'acte. Il s'agit de nobliaux bretons, propriétaires terriens.
Hum, outre l'aspect artistique, les signatures étaient souvent l'occasion de montrer sa dextérité à la plume, et de bien noter son statut. Ici on ressent bien une certaine "concurrence" entre les signataires (ou alors je me raconte des histoires).<br /><br />Ceci dit, si je ne saurais pas non plus les expliquer, je remarque plusieurs choses :<br /><br />- signature en haut à