Rien de mieux que de créer son blog de généalogie à l’occasion de la Fête de l’Internet. C’est l’occasion de parler des racines de son arbre, qui s’enfoncent dans un plat pays.
“Faire le lien entre le passé et le présent : toucher un vieux registre du 16ème siècle, et partager le résultat de ses recherches sur Internet. C’est tout ça, la généalogie !” Et quoi de mieux pour partager qu’un blog au nom évocateur des branches et des racines de nos arbres ?
Un site ? Un blog ? Les deux à la fois ! le tout dans l’esprit de partager les découvertes et la généalogie familiale. Une envie dans l’esprit du temps…
A toujours courir après le temps, qui d’entre-nous n’a jamais eu l’impression de faire concurrence au Lapin blanc dans “Alice au pays des merveilles” ? Comment retrouver ses ancêtres quand on a quelques minutes par jour ? Découvrez 17 astuces minutes.
Sans le savoir, alors qu’elle terminait ses études en histoire et se préparait à devenir archiviste, la généalogie s’est invitée dans son univers. Quelques années plus tard, elle ouvre son blog pour nous parler du lien indéfectible entre la généalogie et les archives.
Dans son dernier numéro, la Revue française de généalogie consacre un article sur les archives en ligne, et propose dix points d’amélioration. Quels sont-ils ? Peut-on en demander plus ?
Quel est le lien entre Kant ou le PIB et la généalogie ? A lire les participations du challengeAZ, ce généablogueur a eu envie d’y mettre son grain de sel. C’est à partir de la lettre H qu’il a fait le grand saut en nous apportant un regard décalé sur la généalogie.
Il était une fois, un blog de généalogie créé après avoir lu le généathème, presque sur un coup de tête. Un design agréable et fait maison, des articles aux sujets variés, de quoi prouver, si cela était encore nécessaire, qu’il faut suivre ses envies.
Vous faites partie de ceux qui ont besoin de tout noter sur papier ? Vous faites aussi partie de ceux qui, à force de noter dans tous les sens finissent par ne plus s’y retrouver ? Le bullet journal est fait pour vous.
À 42 ans, ce jeune généalogiste initié par ses grands-parents paternel a la chance d’avoir encore en vie 3 grands-parents de 90, 91 et 92 ans sur les 4 possibles. Baigné depuis l’enfance dans les potins du dimanche après-midi autour de vieilles photos, il en a fait une passion et bientôt, un métier.