En février 2017, une importante découverte fut faite. Le code secret utilisé par un atelier de lutherie parisien était enfin percé à jour. Que révélait-il ? Pourquoi le luthier cryptait-il ses livres de ventes ? Quel secret voulait-il préserver ?
Catégorie : ChallengeAZ
Le luthier est un homme du bois. La lignée Claudot en est un bel exemple avec des métiers variés, mais toujours liés à l’arbre. Toutefois, quand ni le bois, ni la dentelle confectionnée par leur épouse ne rapportaient suffisamment, la terre venait à leur secours.
François, Nicolas ou Charles Claudot, leurs enfants, tous ont appris un métier en pleine mutation. Comment ont-ils pratiqué leur art alors que la lutherie entrait dans le siècle de la Révolution industrielle ?
Mirecourt est bien connue pour ses violons. N’est-elle pas la capitale de la lutherie ? Est-ce la seule ville à pouvoir se targuer d’avoir de célèbre luthiers ? Non ! Car certains de ces artisans ont voyagé, emmenant et diffusant avec eux leur art, comme à Rennes.
L’enquête sur les luthiers de ma généalogie m’emmène de surprise en surprise. Une information trouvée, une photo reçue, et c’est un point de vue qui est à revoir.
Grâce aux inventaires après décès, je continue de découvrir le cadre de vie des ancêtres luthiers. Quel était leur habitat ? Le luthier était-il propriétaire de son logement ?
Je continue à explorer le mode de vie de mes ancêtres luthiers, grâce à l’étude des inventaires après décès (IAD) réalisée par Jean-Paul Rothiot. Comme tout artisan, le luthier avait des outils. Consitutaient-ils toute sa richesse ?
Il y a des histoires que seule la généalogie peut nous amener à connaître, et à vivre. Comment aurais-je pu me douter que pendant la préparation du challengeAZ, plongée dans la généalogie de mes ancêtres luthiers, que Nicolas Claudot viendrait me parler, et me ferait un cadeau incroyable.
La généalogie est une activité passionnante. Non seulement, nous remontons dans le temps, mais aussi nous sommes amenés à découvrir des professions oubliées, des lieux, des histoires. Est-ce tout ? Non ! À cela, vous pouvez ajouter une dose de mystères et d’énigmes à résoudre.
Le luthier apparaît pour la première fois en 1762 dans le dictionnaire de l’Académie française. La tradition de la lutherie est néanmoins attestée à Mirecourt dès le 17e siècle.