Grâce aux inventaires après décès, je continue de découvrir le cadre de vie des ancêtres luthiers. Quel était leur habitat ? Le luthier était-il propriétaire de son logement ?
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Je continue à explorer le mode de vie de mes ancêtres luthiers, grâce à l’étude des inventaires après décès (IAD) réalisée par Jean-Paul Rothiot. Comme tout artisan, le luthier avait des outils. Consitutaient-ils toute sa richesse ?
Il y a des histoires que seule la généalogie peut nous amener à connaître, et à vivre. Comment aurais-je pu me douter que pendant la préparation du challengeAZ, plongée dans la généalogie de mes ancêtres luthiers, que Nicolas Claudot viendrait me parler, et me ferait un cadeau incroyable.
La généalogie est une activité passionnante. Non seulement, nous remontons dans le temps, mais aussi nous sommes amenés à découvrir des professions oubliées, des lieux, des histoires. Est-ce tout ? Non ! À cela, vous pouvez ajouter une dose de mystères et d’énigmes à résoudre.
Le luthier apparaît pour la première fois en 1762 dans le dictionnaire de l’Académie française. La tradition de la lutherie est néanmoins attestée à Mirecourt dès le 17e siècle.
“Les inventaires après décès constituent une sorte de photographie d’un lieu de travail avec ses différentes richesses”
L’hôpital de Mirecourt, avec son hospice, est une institution qui rythme la ville depuis le 14 septembre 1455, date de l’acte de fondation. Quelques deux cents plus tard, il fut réorganisé par le duc Léopold, qui mit à sa tête une commission administrative à laquelle il participait ainsi que les trois ordres.
Il y a des ancêtres aussi volatiles qu’une note de musique. Nous croyons les tenir, puis ils s’échappent, s’effacent, et ne laissent qu’une musique lancinante, celle de l’absence.
La dentellière, aux gestes si vifs et pourtant, si délicats. Qui n’a pas admiré ces gestes à l’occasion d’expositions, de reconstitutions ? Nos aïeules rêvaient-elles d’exercer ce métier ?
Adèle continue de me faire découvrir l’alphabet généalogique de cette branche vosgienne. Du A de Adèle, au B de Bertrand, son nom de jeune fille, je découvre le C de Claudot, le nom de sa mère. Que me révèlera cette branche ?