Mon épine généalogique a inspiré deux autres amis bloggers, David et Mistike, qui ont, eux aussi, exprimé leurs difficultés rencontrées avec un ancêtre. A partager nos soucis, qui sait, un lecteur nous apportera peut-être la réponse tant attendue ?
Selon le Littré, la généalogie est une suite d’ancêtres qui définit une filiation. Mais quelle filiation ? Celle du sang ou celle du cœur. Vous me répondrez celle du sang bien sûr. Vraiment ?
Régulièrement j’aime prendre au hasard une des boîtes dans lesquelles sont stockées nos photos de famille. C’est l’occasion de redécouvrir un visage, un détail, d’abandonner la longue liste de dates généalogiques pour se pencher sur le document et le faire parler autant que possible.
S’adonner à une activité apporte plus de chose que ne peut comprendre celui qui ne la pratique pas.
Qu’est-ce qu’une épine généalogique ? Elle est comme l’épine du pied, elle nous gêne, nous tarabuste. Mon épine actuelle s’appelle Antoine BOUDAREL, sosa numéro 32.
L’onomastique est une discipline ayant pour objet l’étude des noms propres. Il ne s’agit pas d’une science exacte. Pour preuve la recherche de l’origine du nom de famille BOUDAREL.
Geneanet lance en bêta test une nouvelle fonctionnalité pour les membres du Club Privilège : la recherche par individu à partir de l’arbre en ligne.
A l’instar de la campagne de communication lancée par la Fédération Nationale de Pêche, “la généalogie c’est has been Fashion” ou encore “la généalogie c’est nul Cool”. C’est ce qui ressort d’un sondage IPSOS* pour le site Genealogie.com
Et vous, quel(le) généalogiste êtes-vous ? (En réponse au blog D’Aïeux et d’Ailleurs)
A l’occasion de la lecture d’un mémoire, le blog québécois Le Chercheur Nomade s’interroge sur le contexte de la recherche généalogique en France.