Comment emporter votre généalogie avec vous sans avoir à porter de lourds classeurs ? Comment présenter votre généalogie sans avoir besoin d’être connecté ? Comment parler de vous et laisser une trace aux futurs généalogistes ? La Revue française de généalogie répond à ces trois questions. Deux nouveaux carnets viennent enrichir la collection “Votre généalogie en poche”.
À l’ère du tout numérique, l’idée peut sembler simple : des carnets pour emporter votre généalogie et vos recherches dans votre poche. Grâce à leur petit format, 15×22, ces carnets se glissent dans votre sac et se font discrets en salle de lecture.
Mon carnet de recherches
“Mon carnet de recherches” est le premier carnet de la collection. J’ai eu le plaisir de le créer en collaboration avec la Revue française de généalogie. J’ai voulu regrouper sous forme papier les bonnes pratiques de recherche que je vous conseille sur ce blog.
Vous pouvez y suivre vos recherches, établir un plan d’actions ou noter sur une page toutes vos recherches à effectuer en salle de lecture ou sur un site spécifique.
Ce carnet a été pensé pour que vous puissiez l’emporter avec vous et y noter, non seulement vos recherches en cours, mais les nouvelles pistes que vous découvrez au fur et à mesure de vos avancées.
Deux nouveaux carnets viennent accompagner votre carnet de recherches généalogiques : “Mon carnet 10 générations” et “Mon carnet : toute une vie à transmettre“
Mon carnet 10 générations
Comment présenter sa généalogie à ses proches ? Bien sûr, il y a les arbres en ligne, mais nous n’avons pas toujours accès à Internet. En outre, il est parfois plus aisé d’échanger autour d’un carnet que d’un écran.
Chaque individu fait l’objet d’une page sur laquelle vous noterez les information d’état civil, la situation matrimoniales, les enfants, et autres informations que vous jugerez utiles. À partir de la sixième génération, chaque individu se voit ajouter un arbre. C’est une très bonne façon pour aider à replacer vos ancêtres dans votre généalogie. Si nous pouvons nous souvenir de noms, de prénoms, il n’est pas toujours facile de se souvenir qui est où.
Vous avez une famille étendue ? Charles Hervis, le concepteur du carnet a pensé à vous avec deux doubles pages consacrées à vos cousins paternels et maternels. Vos ancêtres ont voyagé ? Sortez vos crayons de couleur et profitez des pages “dédiées”Où vivaient vos ancêtres” pour faire un tour de France ou un tour du monde.
Mon carnet : Toute une vie à transmettre
Quel généalogiste n’a pas regretté que ses ancêtres n’aient pas laissé plus de traces, telles qu’un journal intime ou des mémoires ?
Pourtant, bien des généalogistes n’aiment pas parler d’eux et préfèrent raconter la vie de leurs aïeux, plutôt que la leur.
Ce carnet s’inspire du Shukatsu. Le principe est simple : noter toutes les informations importantes pour faciliter la vie de ceux qui vous survivent.
Dans ce troisième carnet, il n’est pas question de noter vos numéros de contrat d’assurance, sauf si vous y tenez, mais plutôt de noter tout ce qui a jalonné votre vie, vos différentes adresses, passions…
L’intérêt de ce carnet est que vous pouvez le remplir à votre rythme et le personnaliser. Pourquoi ne pas y ajouter une photo qui vous tient à cœur, le billet de cinéma de votre première rencontre avec votre conjoint ? Autant d’objets personnels qui ne rendront que plus vivant ce carnet de vie. Une belle manière pour un généalogiste de laisser une trace de soi.
Vous pouvez vous procurer ces carnets sur la boutique en ligne de la Revue française de généalogie :
Enfin, si vous voulez en apprendre plus sur ces trois carnets, je vous recommande le Twitch de Brigitte Billard, du blog Chroniques d’Antan.