Après la pause du mois de juin pour profiter du challengeAZ, et d’un repos bien mérité, il est temps de réveiller votre généalogie ! Découvrez les généathèmes du mois d’août.
Toutes les bonnes choses ont une fin, même le challengeAZ ! Que s’est-il passé pendant le mois de juin ? Que faut-il retenir ? Quelle sera la suite ? Toutes les réponses vous attendent …
Pendant le mois de juin, j’ai découvert avec vous qu’elle put être la vie des ancêtres luthiers présents dans ma généalogie. Ces articles ne sont qu’un prélude à d’autres recherches qui sont encore à mener. Pour s’y retrouver, rien de tel qu’une liste.
Le challengeAZ est un excellent catalyseur de découvertes. Nous nous plongeons avec passion dans la vie de nos ancêtres. Peut-être plus en profondeur que nous ne l’aurions fait en temps normal. J’ai ainsi découvert des luthiers propriétaires, des luthiers voyageurs ou vignerons, mais des luthiers naturistes ? Ça, c’est une surprise classée X !
En février 2017, une importante découverte fut faite. Le code secret utilisé par un atelier de lutherie parisien était enfin percé à jour. Que révélait-il ? Pourquoi le luthier cryptait-il ses livres de ventes ? Quel secret voulait-il préserver ?
Le luthier est un homme du bois. La lignée Claudot en est un bel exemple avec des métiers variés, mais toujours liés à l’arbre. Toutefois, quand ni le bois, ni la dentelle confectionnée par leur épouse ne rapportaient suffisamment, la terre venait à leur secours.
François, Nicolas ou Charles Claudot, leurs enfants, tous ont appris un métier en pleine mutation. Comment ont-ils pratiqué leur art alors que la lutherie entrait dans le siècle de la Révolution industrielle ?
Mirecourt est bien connue pour ses violons. N’est-elle pas la capitale de la lutherie ? Est-ce la seule ville à pouvoir se targuer d’avoir de célèbre luthiers ? Non ! Car certains de ces artisans ont voyagé, emmenant et diffusant avec eux leur art, comme à Rennes.
L’enquête sur les luthiers de ma généalogie m’emmène de surprise en surprise. Une information trouvée, une photo reçue, et c’est un point de vue qui est à revoir.
Grâce aux inventaires après décès, je continue de découvrir le cadre de vie des ancêtres luthiers. Quel était leur habitat ? Le luthier était-il propriétaire de son logement ?